Nicolas-Marie-François de K., émigré à l'Armée des princes en 1792, échappé au désastre de Quiberon en 1795, passé aux armées catholiques et royales de l'Ouest (, Pierre de Kermerc'hou, seigneur du Cosquer, en Plougasnou (Finistère), maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 27 juin 1669. Certificat de noblesse délivré par Antoine Marie d'Hozier de Sérigny pour l'admission dans les Écoles royales militaires, le 6 juin 1778. Olivier de G., convoqué aux États de Bretagne de 1720 et 1722, major de l'arrière-Ban de l'évêché de Vannes et capitaine-général, garde-côtes d'Auray. Jacques-Bruno de Rémond du Chélas, né le 21 février 1729, capitaine au régiment de Lyonnais. Changement de nom "de Louvel" en "de Lupel" par ordonnance du 13 septembre 1820 : Bulletin des lois de la République Française, Volume 11, page 543, reprise depuis du nom de Louvel. Julien-Anne de Lamarzelle, écuyer, sgr de Beaumesnil et du Bas-Coudray, reconnu noble en France (maintenue) en 1752 (, Julien Lambert, seigneur de Boisjean, en Comblessac (Ille-et-Vilaine), maintenu noble en Bretagne, le, Guillaume de Lambilly, seigneur de Lambilly, en Taupont, (Morbihan), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 17 novembre 1668. La deuxième du 25 juin 1718 (, René, marquis de Tinténiac, seigneur de Quimerc'h, en Bannalec (Finistère), maintenu noble en Bretagne, le 26 juillet 1669. Auguste, Bonabes de M., capitaine des vaisseaux du roi, chevalier de Saint-Louis, membre de la Société américaine de Cincinatus, émigré à l'armée des princes en 1792, contre-amiral en 1815 (, Gérard de Messey, seigneur de Sainte-Sabine (Saône-et Loire), commandant d'une compagnie de 100 arquebusiers par brevet du 27 octobre 1618, commandant de la compagnie du duc de Mayenne en 1619, capitaine d'une enseigne du roi en 1635. (Comte de Waroquier, Maintenue dans la Noblesse par Ordonnance du 26 avril 1668 pour Antoine de Castanet Seigneur de Cambayrac (sous le nom de Cast. Une branche a relevé Trémont par voie d'adoption. La Noblesse Française. This paper. Cet article recense les familles comptant au moins un membre vivant (homme ou femme) qui, selon les règles de transmission de la noblesse en vigueur en France en 1789, descendent en ligne masculine, naturelle [sans adoption], et légitime [dans le cadre du mariage] d’un auteur en possession de la noblesse française transmissible (ou d’un titre d’Empire/Restauration, NDLR), par acte émanant du pouvoir souverain d'un territoire aujourd'hui français[1]. Dépouillement en cours de Nicolas Guerre, Noblesse 2001. Charles-Ange de La Monneraye, né à Rennes en 1812, président du conseil Général, député puis sénateur du Morbihan. Marquis d'Ormesson par érection des terres de La Queue (en Brie), d'Amboile (Ormesson-sur-Marne), et de Chenevières. Louis-Alexandre de G., calviniste, passé en Angleterre à la révocation de l'Edit de Nantes, en 1685. La famille de Meaux est une très ancienne famille noble d'extraction chevalresque (1360), le premier aïeul est Denis de Meaux. Marie-Joseph-Armand de G., député en Cour par l'Ordre de la noblesse, aux États de Bretagne de 1788 (, Jean Gouyon, seigneur de Coipel, en Renac, (Ille-et-Vilaine), maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 15 juin 1669 (. Armand de Gérard, maintenu noble d'extraction à l'Intendance de Guyenne le 6 novembre 1666, commandant du ban de la noblesse du Sarladais le 3 juin 1674. Alain de Nicolas (né en 1715) écuyer et sieur de La Coste eut de son union avec Françoise Martine Planchard un fils, Louis-Anne (1763-1847) qui adopta la nouvelle graphie de son patronyme. Jonathas-Marie-Hyacinthe de P., marquis de Cheffontaines, page de la petite Ecurie du roi en 1765, admis aux honneurs de la Cour, le 18 mars 1788. Par ailleurs, signalons que des auteurs[2] expriment toutefois des désaccords sur certaines preuves de noblesse, sur l'expression noblesse d'Empire et sur la notion de noblesse au XIXe siècle. D'abord nuancer ce qui concerne la noblesse: il y a noblesse et noblesse. Patrice du Puy de Clinchamps. Pierre-Marie-René de T. de C., admis au collège de la Marine de Vannes sur preuves de noblesse du 31 janvier 1787. Henri-Louis d'Argouges, lieutenant-général des armées du roi le 4 mai 1744. Jean-Guy G., seigneur du Boisdulier, en Chelun (Ille-et-Vilaine), contrôleur général des Domaines et Bois en Bretagne, après 1735 (, Noël-Alain Garnier, seigneur de la Ville-és-Bret, en Caulne (Côtes d'Armor), membre de l'ordre de la noblesse aux États de Bretagne de 1748 et 1754. Nicolas-François de Metz, avocat en parlement, substitut du procureur général en la Chambre des Comptes, fut maintenu aux droit et possession de se qualifier écuyer par arrêt de la Chambre des Comptes de Lorraine du 24 décembre 1788, comme descendant au huitième degré de Philippe de Metz, père de Mathieu, reconnu être issu d'ancienne noblesse par lettres de Nicolas de Lorraine, comte de Vaudémont, régent du duché pendant la minorité de Charles III, du 11 décembre 1556 (Reg B. Nommé en 1815 Maître des Requêtes au Conseil d'État, il reçoit des lettres de patente d'anoblissement de Louis XVIII la même année, avec pour devise. Jean-Louis-Armand, inspecteur général de la maison des rois louis XVIII et Charles X (. Louis d'Izarny-Gargas, Jean-Jacques Lartigue, Jean de Vaulchier, La famille Cauvel de noblesse chevaleresque suédoise est installée à Montdidier depuis le début du, Lettres de confirmation de noblesse enregistrées le, second rameau cadet de la branche aînée des marquis de Curton. Balthazar-Henri de Rouvroy, comte de Saint-Simon-Sandricourt, brigadier des armées du roi, gouverneur et grand bailli de Senlis, grand maître des cérémonies et chef d'une brigade des gardes du corps du roi de Pologne, avant 1783 (, Claude Ruinart, seigneur de Brimont, avocat au Parlement, échevin de Reims, contrôleur des guerres, pourvu, le, Gilles de Saint-Gilles, seigneur de Perronay, en Romillé, (Ille-et-Vilaine), lieutenant de 100 hommes d'armes, gentilhomme ordinaire de la chambre du roi, en 1607. Authier et Galbrun, Il y a rupture de filiation tout à la fin du, Majorat sur un domaine de 8 300 francs de revenu. Authier et Galbrun, Liste des familles subsistantes de la noblesse française (L à Z), anoblies et/ou titrées au cours des différents régimes du, Association d'entraide de la noblesse française, Adhémar de Cransac (d') et - de Lantagnac, Anthouard de Vraincourt (d'), - de Wasservas, - d'Abria, Audiffret (d') et Audiffret-Pasquier (d'), Barrigue de Fontainieu et – de Montvallon (de), Bazelaire de Lesseux (de), - de Ruppierre, - de Saulcy, et - de Boucheporn, Beaumont d'Autichamp (de), - du Repaire, - de Verneuil, - d'Auty, et - de Beynac, Bellet de Tavernost et - de Saint-Trivier, Bernard de Montessus de Rully et - de Ballore, Bigault de Cazanove (de), - de Parfourut, - de Fouchère, et - du Granrut, Bosquillon de Frescheville et - de Jenlis, Cassagne de Beaufort, - de Miramon, - de Miramon-Pesteils et - de Miramon Fitz-James, Castellane (de), - Esparron, - Majastres et - Norante, Chamboduc de Magnieu et de Saint-Pulgent (de), Chicoyneau de Lavalette et du Coëtlosquet, Courrèges (de), Courrèges d'Agnos (de), Courrèges d'Agnos de Parage (de), Farcy de Pontfarcy (de) et - de Lavilledubois (de), Francqueville (de) et Francqueville d'Abancourt (de), Froissard de Bersaillin (de) et Froissard de Broissia (de), Gondallier de Tugny et - de Tugny-Vergennes, Hauteclocque (de) et Leclerc de Hauteclocque, Charles Angélique François Huchet de La Bédoyère, Dictionnaire historique de toutes les communes du département de l'Eure, Jean-Baptiste Louis Laugeois d'Imbercourt, Avis de décès le 24 avril 2016 de Armand Desbiez de Saint-Juan, VisuArchives, Inventaires d'archives et documents utiles aux généalogistes aveyronnais, Liste des familles subsistantes de la noblesse d'Empire, Liste de familles éteintes de la noblesse française depuis 1900, Liste de familles éteintes notoires de la noblesse française, Liste des familles françaises subsistantes dites de noblesse inachevée, Liste des familles françaises subsistantes de la noblesse pontificale, Liste des familles de la noblesse française d'Ancien Régime (A à K), Liste des familles de la noblesse française d'Ancien Régime (L à Z), Liste des familles françaises anoblies et/ou titrées au XIXe siècle, Liste des familles contemporaines de la noblesse belge, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Liste_des_familles_subsistantes_de_la_noblesse_française_(A_à_K)&oldid=181387272, Liste en rapport avec l'histoire de France, Page utilisant plus de deux colonnes de références, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. (Comte de Waroqier. Sa veuve et tutrice de ses enfants, maintenus nobles en Bretagne, le 7 février 1671 (, Louis de Parcevaux, seigneur de Kerameal, en Kernoues, (Finistère), maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 12 avril 1669. Ne sont indiqués dans cette liste que les titres dits « authentiques », c'est-à-dire les titres héréditaires fondés sur un acte officiel de création ou de reconnaissance d'un souverain français, et régulièrement transmis à partir du premier titulaire jusqu'à nos jours selon leurs règles particulières de dévolution. Marie-Gustave de W., marquis de Thézy, auteur de tous les descendants actuels (, Antoine de Wolbock, vicomte de Limé, (Aisne), exempt des gardes corps du roi Louis XIII, gentilhomme de la reine en 1617. Dépouillement en cours de Nicolas Guerre, Noblesse 2001. Il sut protéger l'île de l'attaque de la Flotte anglaise, en 1746, et sauva par son feu la frégate La Renommée, commandée par, Auguste-Étienne-Marc Gourlez, créé baron de La Motte le 26 octobre 1808, lieutenant-général, commandeur de la Légion d'Honneur, chevalier de Saint-Louis (, Célian-Louis-Anne-Mary Goury, baron du Roslan, secrétaire de la Légation de France à Mexico, baron héréditaire le 9 juin 1846, grand-officier de la Légion d'Honneur en 1866 (, Renaud Le Gouvello, seigneur de Keriaval, en Carnac, et de Kerlévenant, en Sarzeau, (Morbihan), bailli de Quimperlé, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, en 1640. Pour les personnes les estimations varient de 50 000 ou de 100 000[b 1] à 140 000 individus, ce qui représente environ 0,1 à 0,2 % de la population française. Noblesse francaise. Claude Vaillant, seigneur de Meixmoron, conseiller maître puis président de la chambre des comptes de Dijon, le 14 mai 1786. Les familles subsistantes de la noblesse française sont les familles qui étaient autrefois membres de la noblesse française et qui se sont perpétuées jusqu'à nos jours. La noblesse française, ce sont 3.000 familles dont 300 remontent au Moyen Âge. Cette division de la société par ordres trouvait ses origines dans l'Antiquité. Jacques Halna, seigneur du Frétay, en Maroué (Côtes d'Armor), maintenu noble en 1698, et, à l'Intendance de Bretagne, en 1713. Hervé de Quelen, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 10 juin 1670. Acte récognitif : Maintenue de noblesse de la généralité de Moulins, élection de Nevers de 1667, en faveur de Noël de Thoury, seigneur de Malnay. 32133, Acte récognitif : Certificat de noblesse dressé par Louis-Pierre d'Hozier, le, Acte récognitif : Enregistrement au Parlement des Lettres d'anoblissement pour les sieurs Jean Madeleine et Jean Victor Chebrou du, Famille reconnue dans la noblesse belge en 1921, Voir. 1 Lorraine Gadoury, La noblesse de la Nouvelle-France : familles et alliances, Montréal, Hurtubise, 1991. Jean Pocquet de Livonnière, conseiller du roi au siège présidial d'Angers, mort en fonction en 1767. environ 180 familles éteintes après leur admission (de 1933 à aujourd'hui) ; environ 20 familles éteintes après 1900 et admises déjà éteintes (inscription à titre historique). Il obtient le 4 décembre suivant des lettres d'honneur de conseiller, enregistrées le 18. Maintenue de noblesse par jugement de M. Le Bret, intendant de Provence de l'an 1704. Annales de démographie historique, Belin, 2016, 131 (1), pp.13-36. D'hier à aujourd'hui, la noblesse française Depuis 1848, la noblesse française n’a plus d'identité juridique. Augustin-Médard de La Forest d'Armaillé, officier au régiment de Royal-Marine, tué par les bleus à Savenay le 8 décembre 1793. André-Mathurin Chéreil, seigneur de La Rivière-Trélan (Ille-et-Vilaine), Trois chevaliers de Saint-Louis : 1/ Jean-Baptiste de Chevigné, seigneur de L'Herbergement au château de Boischollet (Loire-Atlantique), né le 24 juin 1690, major d'infanterie. La seigneurie de Broissia érigée en marquisat par Lettres d'octobre 1691 enregistrées au Parlement de Dole en faveur de Jean Claude Joseph de Froissard de Broissia. André Boussineau, conseiller du roi, procureur au Présidial, puis maire de Nantes, confirmé dans sa noblesse en 1720 (, Raoul Bouthray né en 1550, avocat au conseil de France auteur de « l'incendie de Paris » en 1618 - puis Jean olivier Boutray, Claude-Yves Boux, seigneur de La Gaudinière, maintenu noble en Bretagne le 12 décembre 1668 (, Charles Bréard de Boisanger, maintenu noble en Bretagne le 11 novembre 1701 (, Anne du Breil, Vicomte de Pontbriand, maintenu noble en Bretagne le 21 novembre 1668 (, Pierre, marquis de Brémond d'Ars, commissaire de la noblesse de Saintonge en 1758. Angelo-Santo Boërio, chambellan de l'Empereur Charles-Quint, créé par ce prince chevalier héréditaire du Saint-Empire en 1538. Un échevin d'Angers en 1684 (Célestin Port, Acte récognitif : Preuves de noblesse délivrées le, Acte récognitif : Maintenue de la généralité de Rouen, élection de, Acte récognitif : Arrêt du Conseil du roi du. Leurs aînés, en 1767, sont marquis pour leurs services et leurs alliances, mais s'éteignent en 1905 ; ceux d'aujourd'hui ne sont que Drée, ce qui n'est pas rien. Le site de l'Association d'entraide de la noblesse française (ANF) donne la liste de quelque 2 425 familles admises en son sein depuis 1933 selon ses critères[6], dont : Certaines familles ont la mention : anobli (confirmé) ou anobli (maintenu), ce qui signifie que la famille a été connue comme étant roturière, mais qu'un jugement de confirmation ou de maintenue de noblesse leur a valu anoblissement par prescription. Dictionnaire de la Vraie Noblesse / Dictionnaire de la Fausse Noblesse - Tallandier - 2008 bonsoir à tous, ce livre publié en 2008 donne plusieurs listes : noblesse française, noblesse étrangère, noblesse inachevée, fausse noblesse. Son oncle, le sieur Duport du Court, commandait l'escadre du Roi dans la Méditerranée et ensuite la Flotte combinée de France et d'Espagne au combat naval de Toulon contre les Anglais, lequel mourut en 1753, premier vice-amiral et grand'croix de Saint-Louis. Une nouvelle noblesse fut créée au XIXesiècle mais abolie durant la deuxième République (1848-1852) puis en 1870 … Le général, Charles-Jacques Estourmel, seigneur de Tersannes (Haute-Vienne), garde du corps du roi en 1705, reconnu noble en 1718. La dernière modification de cette page a été faite le 14 janvier 2021 à 15:26. Cette liste des familles subsistantes de la noblesse française rassemble les familles subsistantes de nos jours qui étaient membres de la noblesse française de l'Ancien Régime avant le 19 juin 1790, qui ont été anoblies et/ou titrées au cours des différents régimes du XIXe siècle, et les familles nobles des provinces réunies à la France après 1789 : du comtat Venaissin, du duché de Savoie et du comté de Nice (après 1860). (Comte de Waroquier. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. 1 Texte de sous-titre 2 B 3 C 4 E 5 F 6 G 7 H 8 I 9 de Jouennes d'HervilleJ 10 K 11 La 12 M 13 N 14 O 15 P 16 Q 16.1 Quemper de Lanascol, Bretagne 17 R 18 S 19 T 20 U 21 V 22 W 23 Xylpohone de 24 Y 25 Z 26 Notes et références == Le nombre de familles subsistantes de la noblesse française fait depuis longtemps débat. Acte récognitif : Protestation de la noblesse de Bretagne de janvier 1789 dans laquelle est mentionné René Noüel de Kertanouarn, Acte récognitif : Annales manuscrites de la ville de, Jean Parisot de Bernécourt anobli par Lettres du duc Charles III de Lorraine le 19 janvier 1598. Jacques de Villoutreys, seigneur de La Judie, maréchal des logis des chevau-légers de la Garde du roi, capitaine de cavalerie, maintenu noble, le 26 avril 1695. De nos jours la population française vit sous un régime républicain qui pose par principe l'égalité de tous en droit donc plus de traitement particulier du fait de la naissance, mais il reste toutefois des personnes qui descendent en ligne masculine, naturelle (sans adoption) et légitime d'une famille ayant été noble avant 1870. Aujourd'hui elle obéit à une règle : survivre, transmettre et s'adapter. Jean-François P. de S., lieutenant général à Saint-Domingue en 1769 (, Tanguy de Quelen, seigneur de Kerohant, en Hanvec, (Finistère), conseiller du roi, président du Présidial de Quimper, le 17 novembre 1617. Henri-Louis de Fredy de Taverny, avocat en 1747, conseiller-clerc au Parlement de Paris, guillotiné en 1794 (, Julien de Freslon, seigneur de La Freslonnière, en Le Rheu (Ille-et-Vilaine), chevalier de l'Ordre du Roi en 1617. 10.3917/adh.131.0013. Ambroise-Toussaint-Marie, lieutenant de vaisseau du roi, émigré en 1792 (, Claude de Parscau, seigneur du Menant, en Plouguerneau, (Finistère), maintenu noble en Bretagne le 12 avril 1669. François-Fortuné du P., officier aux, Jean de Pluvié, seigneur de Ménéhouarn, en Plouay, (Morbihan), maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 9 février 1669. Tallandier 2008 : environ 3 500 dans son introduction, mais seulement environ 2 700 dans sa liste, qui reste lacunaire. Jean, chevalier de Cavelier, seigneur du Bocage et patron-haut justicier de Cuverville, maintenu noble dans la généralité de Rouen en 1715 (, Jean-Joseph de Cazenove, seigneur de Pradines en Faugerollees, maintenu noble en Agenais en 1666 et le 20 décembre 1695 (, René de Chalus maintenu noble dans la généralité de Tours le 20 juin 1668. 1. Voir : Liste des familles subsistantes de la noblesse française (L à Z). hal-02558733 Jacques-François-René T., seigneur de Vaujuas, major d'infanterie, chevalier de Saint-Louis. Jean-François Delolm de Lalaubie, garde du corps du roi Louis XVI, à la Compagnie de Noailles au, Cette famille a été étudiée par Michel Authier, in, Jacques Desclos, seigneur de La Fonchais, en saint-Malo-de-Phily, (Ille-et-Vilaine), conseiller-secrétaire du roi, anobli le 11 avril 1711. Casimir-Julien-Mathieu H. seigneur de Kéringant, sénéchal et juge de Plouha, puis officier au régiment de La Fare, émigré, volontaire dans la compagnie de Rohan, massacré à Quiberon l, le 2 août 1795 (, Cette famille est venue d'Irlande vers 1660 en la personne de Jacques Hay. François-Charles-Luce, baron Didelot, ministre plénipotentiaire, chambellan de l'Empereur, commandeur de la Légion d'Honneur, baron de l'Empire Français, le 30 août 1811 (, François-Marie de Dieuleveult, docteur en médecine, anobli le 23 mai 1816 (et non 1817 comme mentionné par La Messelière) pour services rendus pendant une épidémie. (Comte de Waroquier, Famille Bonardi, originaire du Piémont. 1223 relations. [AN, BB/29/968, page 69] (. ANF = Association d’entraide de la Noblesse Française ANRB = Association de la Noblesse du Royaume de Belgique _____ A AB YBERG SZ, Italie Famille dirigeante de Schwyz. Tome 7 / par de La Chenaye-Desbois et Badier -- 1863-1876 -- livre Dictionnaire historique et héraldique de la noblesse française, rédigé dans l'ordre patronymique, d'après les archives des anciens Parlements, les manuscrits de d'Hozier et les travaux des auteurs, contenant un vocabulaire du blason, la notice des familles nobles existant actuellement en France, avec la description et le dessin de leurs armes / par D. de Mailhol -- 1895-1897 -- livre Arnaud CLEMENT. Sur institution de majorat pour la terre de Prouvais (Marne). Jean-Roland Desclos de La Fonchais, épouse le 30 octobre 1787, Angélique Desilles de Cambernon, guillotinée à Paris le 18 juin 1793 comme complice de la, (Jean Desplaces de Charmasse (1656-1731), titulaire de la charge, mort en fonction)/Son fils, Hugues Charles Desplaces de Charmasse, (1695-1787), lieutenant au régiment d'Aquitaine, a obtenu le 3 avril 1786, un certificat de noblesse pour les sous-lieutenances, délivré par Chérin. a toujours été particulièrement compétente. n'y sont pas incluses. Certains établissements religieux n’étaient ouverts qu’à des dames pouvant prouver seize quartiers de noblesse comme l’Abbaye de Remiremont dans le Duché de Lorraine ou le chapitre noble de Lyon, pour la France. La majorité de la noblesse belge est francophone (même ceux qui vivent en Flandre et ont un nom néerlandophone), conservatrice, catholique romaine et pro-monarchiste. Acte récognitif : Enregistrement, en date du, Jean Le Bouteiller, seigneur du Chastenay, maintenu noble d'extraction en Bretagne le 9 avril 1669 (. Acte récognitif : Maintenue de noblesse de Normandie en 1666 par Messire de Chamillart, en faveur de Georges Piton, sieur du Manoir. Pat Sav Reg 39 f° 270, archives de la Chambre des Comptes de Turin. Les familles de noblesse française éteintes en France mais subsistant à l'étranger Alain Galbrun, in, Acte récognitif : Lettres de provisions d'office de. Maintenue par arrêt de la chambre des comptes de Lorraine, le 3 décembre 1775. La famille des Sires de Ribeaucourt est originaire de Picardie, ils sont pairs de Ponthieu, les premières traces de cette famille sont aux alentours de l'an 1200, mais on perd la trace de cette maison dès le 15ème siècle, pourtant on retrouve cette famille dès le 17è siècle.
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